ingénieur·e en apprentissage

Osez ! Comme Maël devenez ingénieur·e dans la filière Aéronautique et Espace

Maël

Maël, 22 ans, aujourd’hui en dernière année du parcours ingénieur·e du Cnam en apprentissage dans la spécialité Aéronautique et Espace, revient pour nous sur ses 3 années de formation passées entre les bancs de l’EICnam et le laboratoire qui l’a accueilli dans le cadre de son alternance. Son témoignage, captivant, risque de vous donner très envie de devenir ingénieur·e dans une filière d’excellence ouvrant de belles perspectives professionnelles.

Pourquoi avoir choisi le parcours d’ingénieur·e dans la filière Aéronautique et Espace ?

Après avoir obtenu une licence Science pour l’ingénieur·e, j’ai choisi la filière Aéronautique et Espace car cette spécialité permet d’acquérir les bases dans différents domaines du secteur aéronautique (que ce soit en automatique, en systèmes embarqués, en mécanique des fluides, etc.). De plus dans cette spécialité, le parcours d’ingénieur·e proposé par le Cnam, nous forme vraiment à être des ingénieurs de terrain. En faisant l’acquisition de notions diverses dans différents domaines, nous apprenons à avoir le recul nécessaire pour trouver des solutions simples aux problèmes qui nous sont posés en entreprise.

Je suis actuellement apprenti ingénieur dans un des laboratoires du CNRS, le LESIA (Laboratoire d’Etudes Spatiales et d’Instrumentation en Astrophysique). Je travaille en bureau d’étude et mon poste est orienté calcul et conception mécanique. Mes missions en entreprise sont réellement des applications directes des éléments de cours. C’est donc très formateur. D’autant plus que j’ai la chance de travailler sur différentes thématiques scientifiques ainsi que sur des projets impliquant des laboratoires de recherche dans différents pays. Par exemple j’ai travaillé sur le projet SuperCam, instrument scientifique destiné à équiper le prochain Rover de la NASA. Sur ce projet, j’ai pu collaborer directement avec des ingénieurs de recherche de l’agence spatiale américaine. Cet instrument partira à destination de la planète Mars et le lancement est prévu pour cette année.

Pourquoi vous êtes-vous engagé dans une formation en alternance, en apprentissage ?

J’ai choisi cette modalité car j’ai souhaité découvrir le monde du travail tout en continuant mes études. A mon sens, être apprenti·e permet de gagner énormément en autonomie et d’acquérir toute la maturité nécessaire pour faire face aux responsabilités qui m’ont été confiées en entreprise.

Pourquoi avoir choisi le Cnam et son école d’ingénieur·e·s ?

J’ai choisi l’école d’ingénieur·e·s du Cnam (l’EICnam) pour son savoir-faire en matière de formation en apprentissage mais également pour la qualité des d’enseignements ; Ils sont dispensés par des enseignant·e·s-chercheur·e·s et des intervenant·e·s extérieurs qui sont pour la plupart ingénieur·e·s en activité au sein d’entreprises ou de grands groupes. Au Cnam, les élèves peuvent donc acquérir non seulement un bagage théorique mais aussi pratique grâce aux regards extérieurs de professionnel·les qui travaillent dans l’aéronautique et dans le spatial.

Je sais déjà que ma formation et mon passage au Cnam vont être déterminants pour la suite de mon parcours professionnel. Avec ces trois ans d’apprentissage, j’ai aujourd’hui le bagage nécessaire pour être l’ingénieur de demain.

Quel conseil donneriez-vous aux futurs ingénieur·e·s Cnam ?

L’aéronautique et le spatial sont des domaines porteurs pour l’industrie de demain. Même si de nos jours, l’homme vole et va dans l’espace, il y a encore beaucoup à faire et on en apprend tous les jours. Osez rêver et surpassez-vous !

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